VOS QUESTIONS

Quels sont les motifs de consultation en kinésiologie ?

Qu’est–ce que le test musculaire en kinésiologie ?

Comment se déroule une séance de kinésiologie ?

Combien de temps dure une séance de kinésiologie ?

Une séance, entretiens pré et post séance inclus, dure entre 1h et 1h15 pour les adultes et 45 minutes et 1h pour les enfants.

A partir de quel âge peut–on recevoir une séance de kinésiologie ?

Voir rubrique​ : accueil

En combien de séances de kinésiologie peut–on observer des résultats ?

La kinésiologie est une méthode ponctuelle, que l’on pratique de manière espacée.​
En effet, dans la mesure où l’objectif de la kinésiologie est de rétablir un nouvel état d’équilibre, un temps d’intégration est à respecter avant de renouveler l’expérience – au minimum 3 semaines.​
S’agissant d’une méthode de « biofeedback », je vous invite, après la séance, à observer votre état physique, émotionnel, mental et relationnel, ainsi que le ou les motifs de consultation. Je vous indique également en fin de séance si, pour une même problématique, une nouvelle séance est à prévoir.​
Si, au bout de 3 séances environ, aucun résultat n’est observé, je vous invite alors à :​
– ajouter une technique complémentaire (chiropractie, ostéopathie, naturopathie, etc.) – voir un(e) autre kinésiologue (nous travaillons avec des outils différents),​
– ou vous n’êtes tout simplement pas prêt (et c’est ok).​

Doit–on s’attendre à des réactions après une séance de kinésiologie ?

Certaines réactions peuvent être observées après une séance de kinésiologie. Cela peut être une réaction physique ou émotionnelle. Il s’agit de réactions dites « salutaires », comme si le corps avait besoin d’exprimer pour mieux se libérer. Ces réactions sont transitoires. ​
J’apporte une attention particulière à vous indiquer, en fin de séance, par le biais du test musculaire, si une réaction est à prévoir, de quel type et à quel moment.​

Y a–t–il des contre–indications à la kinésiologie ?

Aucune ! Je vous reçois dans le respect de votre état émotionnel, physique ou mental. ​
Néanmoins, il n’est pas recommandé aux personnes atteintes de pathologies psychiatriques, telles la bipolarité, la schizophrénie, troubles de la personnalité, trouble borderline, etc.. de venir en séance de kinésiologie. ​
En effet, le travail sur l’inconscient peut parfois soulever des émotions difficiles et nous n’avons, en kinésiologie, pas la maîtrise des réactions post séance sur des personnes fragilisées par ces pathologies.​
La dépression ne fait pas partie de ses recommandations.​

Comment choisir son kinésiologue ?

Dans une période où une multitude de pratiques fleurissent avec plus ou moins de contrôle, je vous invite à porter une vigilance particulière quant au choix de votre kinésiologue. ​
Préférez un praticien ayant suivi une formation longue (minimum un an et demi), en présentiel et certifiante dans une école faisant partie de la Fédération Française de Kinésiologie (https://www.federation-kinesiologie.fr/) ou de la Fédération Des Ecoles de Kinésiologie (https://www.fedek.fr/).​
Il est également recommandé d’avoir un(e) kinésiologue affilié(e) à un syndicat de kinésiologues, ce qui l’engage à pratiquer en toute conscience d’une éthique et déontologie précises.​
Un(e) kinésiologue qui poursuit régulièrement sa formation, par des modules spécifiques, a une volonté d’amélioration continue et de remise en cause – chaque formation étant supervisée par les formateurs lors des pratiques.​

Les séances de kinésiologie sont-elles prises en charge par certaines mutuelles ?

En effet, certaines mutuelles prennent en charge tout ou partie du coût de la séance sous présentation de la facture que je vous délivre.​
Vous trouverez une liste non exhaustive des mutuelles prenant en charge tout ou partie du coût de vos séances.​

Existe-t-il des tests d'ennéagramme en ligne ?

Oui. Mais les tests en ligne sont peu fiables. En effet, l’ennéagramme est un outil complexe. Chaque base est reliée et en interaction avec d’autres profils, liés par des flèches mais aussi les « aîles », qui entourent chaque base. Exemple : la base 2 – l’altruiste -, peut dans certaines situations adopter certains comportements de la base 8 – le chef protecteur-, la base 4 – le romantique-, mais également les bases 3 – le leader – et 1 – le perfectionniste -; profils distincts avec des motivations sous-jacentes extrêmement différentes. Cela rend les résultats des tests en ligne pas assez pointus pour s’assurer de sa propre base. L’ennéagramme est un outil qui se vit, en stage de groupe, notamment par des exercices ludiques et lors de témoignages. Prenant en compte le corps, le mental et l’émotionnel, vous vous reconnaîtrez dans votre base en explorant ces 3 centres, dans un stage vivant.

L'ennéagramme consiste-t-il à mettre les gens dans des cases ?

Absolument pas ! Effectivement, nous nous retrouvons chacun dans une base. L’idée étant de comprendre que nous y sommes très souvent enfermés, dans des réactivités, croyances limitantes et mécanismes de défense. En connaissance de votre base et de vos 3 centres (corps/cœur/tête), il s’agit d’en sortir pour retrouver une véritable liberté d’être, et d’adopter des comportements adaptés conscients, tout en gardant les valeurs propres à chaque base.

Y-a-t-il des contre-indications à explorer sa base en ennéagramme ?

Le développement de la personnalité de chacun se fait progressivement. Il est estimé que les schémas de personnalité en ennéagramme sont à leur apogée autour de 20 ans. C’est pour cette raison qu’il n’est pas recommandé d’explorer cet outil avant cet âge.

L'ennéagramme n'est-il pas un outil dangereux ?

L’ennéagramme est en aucun cas un outil qui dirige. Chaque personne garde son libre arbitre et témoigne en toute liberté. Personne ne peut vous dire à quelle base vous appartenez. Il s’agit d’un outil de connaissance de soi, que chacun explore à son rythme et décide de mettre en place des changements à sa guise et sans contrainte. Comme tout outil de développement personnel, le travail commence avant tout par une décision individuelle et libre.